lundi, mai 29, 2006

La Providence invisible.



Un soir, le jeune Blaise Pascal.

le futur mathématicien, dit à son père:

-Papa, Dieu m’a merveilleusement protégé aujourd’hui: mon cheval a trébuché, s’est affaissé sous moi et je n’ai eu aucun mal.

-Mon fils, dit le père, Dieu m’a bien plus merveilleusement protégé encore: j’ai fait une course de vingt kilomètres et mon cheval n’a pas trébuché même une seule fois.



L’un soulignait le témoignage visible de la Providence de Dieu, l’autre l’invisible. L’un voyait la délivrance à un moment de la journée, et l’autre la voyait à toute heure.

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